OPÉRA MAGAZINE, François Lehel, février 2013


« Dans un montage habile donnant effectivement à l’ensemble la cohérence et la force d’une fiction, avec d’ingénieux flash-back, quatre parties, partant de la création de Tristan à Munich, en 1865, et regroupées ensuite autour de Minna, Cosima, et Winifred, en forme d’épilogue, permettent de remonter jusqu’à la petite enfance et de descendre jusqu’au bombardement de Bayreuth, en 1945. »