LES DERNIÈRES NOUVELLES D’ALSACE, Veneranda Paladino, vendredi 28 février 2020


« De quoi parlent les morts ?

De vie, évidemment ! Rien de paradoxal quand la Grande faucheuse a fait son œuvre et que le romancier Robert Seethaler pratique une maïeutique post-mortem.

De l’écrivain autrichien – best-seller dans son pays –, on avait chroniqué les deux premiers livres traduits en français et édités par l’éditrice Sabine Wespieser – Le Tabac Tresniek (2014) et Une vie entière (2015). L’infinie finitude demeure le ressort essentiel d’une geste littéraire remarquable par sa constance, sa force qui embrasse avec délicatesse les mystères de l’âme humaine […] »