LIRE MAGAZINE LITTÉRAIRE, Laëtitia Favro, juin 2021


« Catherine Mavrikakis ne se livre pas à un exercice cathartique. En commuant ses souvenirs en mots, elle leur offre un endroit où reposer, à l’ombre de la statue de la défunte. Elle s’autorise enfin à lui parler, à renverser un rapport d’autorité trop longtemps déséquilibré. […] Mais, qu’on ne s’y trompe pas, si l’âpreté de cette relation mère-fille traverse le texte, ce n’est pas elle qui l’emporte. […] Une matière qui, sublimée par l’écriture, forme un joyau. »

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