FRANCE CULTURE, « La Dispute », jeudi 23 janvier 2020
« Un beau cœur funèbre, une ode à la vie et à la mélancolie. Un livre qui m’a touché à chaque chapitre pour des raisons différentes. » Philippe Chevilley
« Un beau cœur funèbre, une ode à la vie et à la mélancolie. Un livre qui m’a touché à chaque chapitre pour des raisons différentes. » Philippe Chevilley
« La romancière Edna O’Brien, 88 ans, nous a reçus chez elle à Londres, alors que paraît son dernier roman, Girl, un roman majeur où elle s’empare d’une actualité tragique et se glisse dans la peau d’une jeune Nigériane enlevée par Boko Haram. Avant-goût de cet entretien exclusif. »
« Le prix Nobel de littérature d’Olivia de Lamberterie est décerné à Edna O’Brien, romancière irlandaise de 88 ans… »
« Mur Méditerranée : fresque sur l’exil et la liberté signée Louis-Philippe Dalembert. Dans son magistral Mur Méditerranée, publié chez Sabine Wespieser éditeur, Louis-Philippe Dalembert raconte de manière poignante le drame des migrants à travers celui qui se dresse devant les trois héroïnes de l’auteur. […] »
Louis-Philippe Dalembert vous présente son dernier titre Mur Méditerranée chez Sabine Wespieser éditeur aux côtés de Marie-Laure Turoche, libraire Page à la librairie Coiffard (Nantes).
Le coup de cœur d’Ilana Moryoussef, de 17’48 » à 19’39’, à l’occasion de Livre Paris : « […] Et voici qu’arrive ce roman et que se découvre une personnalité insoupçonnée : une enfance franco-allemande, et des étés passés quasiment à l’ombre du Mur de Berlin. […] »
« Serge Mestre : « J’ai voulu rendre à Gerda Taro sa dimension de combattante antifasciste, amoureuse et féministe. » […] »
« Le 9 novembre nous fêtons les 30 ans de la chute du mur. Je voudrais recommander un premier roman qui s’appelle Trois jours à Berlin de Christine de Mazières, franco-allemande, qui à ma connaissance a écrit un des premiers romans qui réussit à mettre en fiction la chute du mur et l’ambiance qui régnait à l’époque. »
Josyane Savigneau reçoit Léonor de Récondo, violoniste et écrivaine, et Valérie Zenatti, écrivaine, traductrice et scénariste.
« Ce manifeste, dont le titre lui a été soufflé par sa mère, est sans doute lʹultime geste et donc parole de Léonor de Récondo pour un père qui se meurt sur son lit dʹhôpital. […] »