RTL, Bernard Lehut, dimanche 7 janvier 2018
Nathalie Iris, de la librairie Mots en marge (La Garenne-Colombes), a beaucoup aimé Tristan de Clarence Boulay, un premier roman.
Nathalie Iris, de la librairie Mots en marge (La Garenne-Colombes), a beaucoup aimé Tristan de Clarence Boulay, un premier roman.
«Tous les gens qui partent connaissent un jour cette impossibilité à raconter. Pourquoi une île ? Pourquoi un volcan ici ? Pourquoi une terre plutôt que rien ? […] »
« L’auteure écrit à Marion de Faouët sorte de Robin des bois du XVIIIème siècle qui à sa manière nous parle d’aujourd’hui. C’est l’histoire d’une femme qui en cache une autre. Toutes deux s’appellent Marion. […] »
Le coup de cœur d’Olivia de Lamberterie pour Joie de Clara Magnani : « Un premier roman lumineux ! […] »
« Joie est un roman de charme. Celui de l’Italie, où il se déroule largement ; celui du cinéma, métier du personnage principal ; celui du plaisir, dont il a fait une règle de vie. […] »
« Une lettre de femme à femme. La narratrice sʹadresse à Marion du Faouët, la brigande bretonne rebelle et courageuse. Pendue haut et court à lʹâge de 38 ans. Féministe avant lʹheure et avant la lettre. […] »
Michèle Lesbre était l’une des invitées culture de Patrick Poivre d’Arvor pour Chère brigande (Lettre à Marion du Faouët).
« […] Clara Magnani, l’auteur, est-elle Clara, la femme aimée du roman ? Peut-être, mais peu importe, car seule compte cette célébration de l’amour, du cinéma italien, des baignades dans la Méditerranée… Un pur moment de dolce vita. »
« J’ai eu envie d’écrire à Marion du Faouët, qui est une femme rebelle née en 1717 dans une Bretagne misérable, qui va créer à même pas vingt ans sa bande, avec son frère, son amoureux et quelques hommes à cheval, et ils vont dépouiller les riches marchands, les curés, qui rentrent des marchés et des pardons […] »
« Pour moi, le grand mystère de la rentrée de janvier, c’est le roman de Clara Magnani, qui raconte une histoire d’amour clandestine qui se déroule en Italie. […] »