RTS, Jean-Marie Félix et Anik Schuin, mercredi 8 octobre 2014
« L’héroïne, sans doute le double de Catherine Mavrikakis, se lance sur les chemins de l’espace et du temps, à la poursuite du souvenir mouvant d’un père disparu. […] »
« L’héroïne, sans doute le double de Catherine Mavrikakis, se lance sur les chemins de l’espace et du temps, à la poursuite du souvenir mouvant d’un père disparu. […] »
La Grande Table reçoit en première partie d’émission la romancière québécoise, Catherine Mavrikakis, pour son dernier roman, La Ballade d’Ali Baba, paru cet été aux éditions Sabine Wespieser. […] »
« L’auteur creusoise Marion Richez participe à la rentrée littéraire 2014. Elle sort son premier roman, L’Odeur du Minotaure, chez Sabine Wespieser éditeur. […] »
Érina, universitaire à l’aise avec les fantômes du passé, spécialiste de Shakespeare, écrivaine francophone et voyageuse de bibliothèques, ressemble diablement à Catherine Mavrikakis, qui lui met d’ailleurs dans la bouche sa belle langue chantournée, charnelle, inventive et métissée. […] »
« Un livre, un jour »
Sabine Wespieser présente Le Tabac Tresniek, de Robert Seethaler.
Yanick Lahens vous présente son ouvrage Bain de lune aux éditions Sabine Wespieser. Rentrée littéraire 2014.
C’est un roman dédié aux quarante voleurs et qui est aussi un hommage au père disparu. […] Qu’est-ce qui vous a touché dans cette histoire ? C’est aussi un chant d’amour pour le père ? […] »
« Ce Bain de lune rouge sang s’explique […] : notre auteur vient d’une terre où ça hurle, où ça pique, où ça ensorcèle car Haïti […] ne fait jamais dans la demi-mesure. Mais du ventre haïtien ne sort pas que de l’apocalypse. […] »
« E. K. : […] Alors, on fait un petit tour du monde avec vous : on part en Grèce, en Algérie, aux États-Unis, au Canada. Nos disparus laissent des souvenirs en nous, c’est ce que vous démontrez. Comment ces souvenirs nous construisent-ils d’après vous Catherine ? […] »
« M. B. : Vous venez avec un livre poétique et politique. […] Vous avez le talent de changer de style d’un roman à l’autre. […] Vous avez mélangé créole et français […]. Vous êtes un passeur entre les deux langues. […]»