FRANCE CULTURE, Marc-Alain Ouaknin, dimanche 9 février 2014
« Michal Govrin poursuit son entretien avec Marc-Alain Ouaknin pour évoquer les horizons littéraires, historiques et philosophiques de son dernier roman, Amour sur le rivage. […]»
« Michal Govrin poursuit son entretien avec Marc-Alain Ouaknin pour évoquer les horizons littéraires, historiques et philosophiques de son dernier roman, Amour sur le rivage. […]»
« […] Après cette première scène d’introduction, Kéthévane Davrichewy va faire une sorte de focus sur chacun des quatre enfants au travers d’un moyen narratif à chaque fois différent. […] C’est un livre qui est assez noir. […] »
« Parce que leur maison familiale a été vendue, quatre enfants devenus adultes perdent la dernière chose qui parvenait encore à les unir. […] »
« Un triangle amoureux subtilement mis en scène dans l’Israël des années 60. La complexité de la société hantée par un passé tragique, l’élan vital de la jeunesse sont évoqués en finesse : un beau roman solidement construit et bien traduit (de l’hébreu). […]»
« Un modeste club de danse sur la plage, un site archéologique qui abrite une déesse grecque au visage brisé, nous sommes en Isaraël au début des années 60, à Ashkelon, ville côtière au sud de Tel Aviv… Et c’est l’été… […]»
Kéthévane Davrichewy vous présente son ouvrage Quatre murs aux éditions Sabine Wespieser.
Exceptionnellement pendant une heure, Caroline Broué est aux côtés d’artistes, créateurs, journalistes et acteurs du milieu culturel haïtien à travers deux tables rondes successives, en direct de la terrasse de l’hôtel Plaza dans un Port-au-Prince en train de s’éveiller.
Entretien vidéo de 14 minutes avec Duong Thu Huong pour la sortie des Collines d’eucalyptus.
« Un coup de foudre dans une boîte de nuit au cœur de l’Israël d’avant la guerre des Six jours, tel est le cadre de Amour sur le rivage, un roman de Michal Govrin traduit de l’hébreu en français aux éditions Sabine Wespieser. […]»
« C’est exactement ce que je voulais faire : inviter le lecteur à une scène, disons, classique pour dialoguer avec cette forme, pour proposer peut-être une autre lecture d’un roman d’amour… à l’israélienne, ou à la juive, si on peut dire ça. […]»