LIBRAIRIE CULTURA, DAVID GOULOIS, Chambray-lès-Tours
« Voici un livre que Claude Chabrol se serait délecté de mettre en scène car il dépeint une bourgeoisie de province étroite d’esprit et parce qu’il se serait amusé à montrer ses travers. […] »
« Voici un livre que Claude Chabrol se serait délecté de mettre en scène car il dépeint une bourgeoisie de province étroite d’esprit et parce qu’il se serait amusé à montrer ses travers. […] »
« Le portrait de deux femmes (l’épouse d’un notaire et sa domestique) au début du XXe siècle. Un livre d’une grande sensualité. Léonor nous surprend encore car, tel un caméléon, elle a transformé son écriture qui s’adapte parfaitement à l’histoire. […] »
« Après Pietra viva, nous retrouvons avec bonheur le style limpide et sensible de Léonor de Récondo, sa capacité à décrire les fragilités et les passions de l’âme humaine, parfois jusqu’à la limite de la folie. […] »
« L’amour ne s’oblige pas. Il apparaît imperceptible et devient évidence et fulgurance, inattendu, loin des soumissions et des conventions. […] »
« Nous sommes au début du XXe siècle dans la maison cossue d’un notable du Cher, Anselme, marié à Victoire. […] »
« Chez Léonor de Recondo, l’amour est au pluriel et c’est la force nécessaire pour permettre de démonter les conventions sociales qui enferment ses personnages. […] »
« Le nouveau roman de Léonor de Récondo est une pure merveille de grâce, qui s’ouvre sur une scène magistrale et se termine sur l’implacable réalité des mœurs de ce début de XXe siècle. […] »
« Il y a des livres qui vous sauvent des jours tristes et des nuits d’insomnie. Foncez, c’est beau, c’est précieux. »
« 1908. Voici l’histoire d’un trio entre Anselme, riche notaire qui trompe sa femme avec leur jeune bonne Céleste. L’inévitable advient alors. Cette dernière tombe enceinte. […] »
« Situé au début du siècle dernier, le nouveau roman de Léonor de Recondo nous entraîne au cœur d’une maison bourgeoise, cossue, celle d’Anselme, notaire de son état, abusant de la jeune Céleste, bonne logeant sous les toits, au point de la mettre enceinte, ce que Victoire, son épouse ne lui offre pas ! […] »