LIBRAIRIE LE SQUARE, NADÈGE BADINA, Grenoble
« À la fin de l’été 1937, Franz Huchel, petit gars sans malice du Salzkammergut, débarque à Vienne pour y gagner sa vie : Otto Tresniek l’embauche dans son tabac. […] »
LIBRAIRIE COMPAGNIE, Paris Ve
« Le jeune Franz Huchel menait une vie plutôt paisible dans une petite ville de la campagne autrichienne jusqu’à ce qu’un revirement familial l’oblige à partir pour la capitale. […] »
LIBRAIRIE SOIF DE LIRE, Strasbourg
« Un très beau et riche roman initiatique dans lequel le jeune Franz va découvrir la grande et belle Vienne, être initié à l’amour, subir la montée du fascisme et rencontrer la psychanalyse. »
LIBRAIRIE L’AUTRE MONDE, Avallon
« Vienne, années 30 : une des plus grandes capitales culturelles du monde ; et pourtant la barbarie nazie gagne peu à peu. »
LIBRAIRIE FOLIES D’ENCRE MONTREUIL, SOPHIE
« Quand le jeune Franz Huchel arrive à Vienne l’été 1937, il a 17 ans. À travers l’amitié du buraliste unijambiste et anarchiste qui l’emploie et les rencontres qu’il fait – dont celle de Freud –, il découvre la vie, jusqu’à ce que l’histoire le rattrape. […] »
LIBRAIRIE MILLEPAGES, Vincennes
« Un petit bijou viennois ! L’apprentissage de l’amour d’un jeune autrichien par les conseils de Sigmund Freud, sur fond de montée du nazisme, et sous les effluves de tabac et de chocolat viennois… Somptueux ! »
LIBRAIRIE LA MANŒUVRE, Paris XIe
« Le Tabac Tresniek, ou l’histoire de la relation d’amitié qui va lier un jeune buraliste viennois au « docteur des fous » Sigmund Freud, amateur de cigares. »
LIBRAIRIE DOUCET, MARIE-ADÉLAÏDE DUMONT, Le Mans
« La montée du nazisme dans Vienne en 1937, vu par un jeune homme naïf et amoureux. Comment Sigmund Freud l’aidera dans sa recherche de l’amour ! Intéressant et différent ! »
LIBRAIRIE DU THÉÂTRE, Bourg-en-Bresse
« 1937. Vienne, l’apprentissage de la vie, Franz découvre la ville et le nazisme montant. Superbe. »
LIBRAIRIE KLÉBER, Strasbourg
« Pas facile pour Franz de se faire à la vie viennoise… Grand naïf, il se heurtera aux mystères des femmes et aux soubresauts de l’histoire. Même Freud y perd son latin ! »