LIBRAIRIE L’AUTRE MONDE, Avallon, septembre 2014
« Haïti est une belle femme violentée ! Voilà la description que fait Yanick Lahens de son pays : beau et âpre, comme son roman. »
« Haïti est une belle femme violentée ! Voilà la description que fait Yanick Lahens de son pays : beau et âpre, comme son roman. »
« Prix Femina. C’est du peuple des paysans, des laissés-pour-compte, que monte cette voix pour dire la misère et la fierté des Haïtiens. Extraordinaire ! »
« Le roman d’Haïti. Une jeune femme agonisante échoue sur le rivage haïtien. Que fait-elle ici et pourquoi ? Elle-même aimerait le comprendre. Son histoire a-t-elle un lien avec la malédiction qui lie les Lafleur et les Mésidor, deux familles ennemies depuis trois générations ? […] »
« Figure majeure de la la littérature haïtienne, Yanick Lahens livre ici un roman sublime qui, au travers des destins croisés de deux familles, nous fait parcourir 100 ans de l’histoire d’une île que l’Histoire aura souvent agitée, parfois martyrisée. […] »
« Les libraires d’Initiales sont des libraires heureux. Heureux que le prix Femina ait été attribué à Yanick Lahens pour Bain de lune. D’abord et avant tout parce que c’est un livre que nous aimons beaucoup, nous l’aimons tellement que nous l’avions choisi dès juillet comme […] »
Lu et conseillé par :
Nathalie Iris, librairie Mots en marge (La Garenne-Colombes)
Virginie Vigouroux, librairie Vivement dimanche (Lyon)
Pascal Pannetier, librairie Le BHV Marais (Paris IVe)
« Incroyablement puissant et captivant. Bain de lune est une passionnante et bouleversante fresque familiale se déroulant à Haïti sur une bonne partie du XXe siècle. […] »
« Une voix s’élève. Bain de lune est le roman de la terre d’Haïti, d’une beauté insoupçonnable et enivrante, un mélange de pureté et de violence confondues… […] »
« Un texte magnifique, superbe, que je conseille à tout le monde. »
« Vassili Papadopoulos est un père original, très absent mais adulé par sa fille. Ses racines grecques et sa jeunesse passée à Alger font de lui un citoyen du monde qui a soif de rencontres. […] »