LIBRAIRIE PASSAGES, Lyon
« Mon père, ce héros !! En conciliant souvenirs émerveillés et regard lucide, Mavrikakis nous livre le magnifique portrait d’un père tout à la fois brigand fantasque et héros fragile. Quelle déclaration d’amour ! »
« Mon père, ce héros !! En conciliant souvenirs émerveillés et regard lucide, Mavrikakis nous livre le magnifique portrait d’un père tout à la fois brigand fantasque et héros fragile. Quelle déclaration d’amour ! »
« Sacrée famille. Un roman sympa et émouvant dans lequel l’auteur évoque le souvenir de son père. Un homme fantasque, souvent absent mais aussi très attachant. À lire ! »
« Je me fais horreur et ne peux pourtant me quitter moi-même. Petite, Marjorie s’est blessée avec du fil barbelé, après avoir entendu la lourde histoire de sa famille. Aujourd’hui, après une enfance enfermée en elle-même, elle occupe un poste important et réussit sa vie. […] »
Au temps retrouvé (Villeneuve-de-Berg), Folies d’encre (Gagny), Librairie des Batignolles (Paris XVIIe), La Mandragore (Périgueux), Prado Paradis (Marseille), Le Thé des Écrivains (Paris IIIe)…
« Une héroïne désillusionnée, une rencontre avec un cerf, une vieille dame, servi par une plume lyrique… Le coup de cœur de cette rentrée littéraire ! »
« Marjorie est une jeune femme qui a su gravir les échelons, en oubliant ses origines. Alors quand sa mère l’appelle au chevet de son père mourant, cela bouscule un peu son quotidien. À partir de là sa vie lui échappe et on sombre dans une douce folie. »
« Un texte bien écrit sur le choc émotionnel. »
« Un premier roman magnifique dans sa simplicité. Après avoir percuté un cerf et recueilli son dernier souffle, le parcours de vie de Marjorie se trouve dévié d’une grande trajectoire pourtant solidement construite. […] »
« Il n’y a pire cruauté qu’un animal des forêts jeté dans une ville, folie et démence le guettent au milieu de la furie des hommes. Si le personnage imaginé par Marion Richez dans son premier roman à paraître chez Sabine Wespieser n’est pas un cerf aux abois lâché dans Paris […] »
« Un jour de tempête, Erina rencontre son père alors que celui-ci vient de manquer de se faire écraser par une déneigeuse. Voir un proche éviter de peu un accident est pour le moins effrayant, mais d’autant plus si celui-ci est mort six mois auparavant. […] »