LA CROIX, Maryline Desbiolles, mardi 4 mars 2025
« L’Irlande, toujours. Et le temps. Le temps à l’œuvre dans le beau roman de John McGahern paru en 1974, Journée d’adieu tout récemment réédité en français. »
L’HUMANITÉ, Muriel Steinmetz, jeudi 6 mars 2025
« Le deuxième roman de Sarah Jollien-Fardel s’attache au destin d’une femme qui porte sur ses épaules le poids d’un héritage familial trop lourd. »
L’ORIENT LITTÉRAIRE, Joséphine Hobeika, jeudi 6 mars 2025
« Le lecteur embrasse dès les premières phrases la route caillouteuse de cette plongée existentielle, dans un cadre montagneux magistral et saisissant, construit par une syntaxe douce ou abrupte, à l’image des massifs alpins. »
LE MONDE DES LIVRES, Denis Cosnard, vendredi 21 février 2025
« C’est avant tout un texte magnifique, subtil et ironique à la fois, teinté de poésie. »
ÉCHO MAGAZINE, Thibaut Kaeser, jeudi 13 février 2025
« Sarah Jollien-Fardel n’écrit pas vraiment à l’os, son style n’est pas tout d’épure, car les colères de sa plume ont leur générosité d’âme. »
ELLE, Virginie Bloch-Lainé, jeudi 20 février 2025
« Elle réussit une gageure : raconter des drames et les sublimer grâce à la splendeur d’un style, grâce à l’art. »
LA TRIBUNE, Juliette Einhorn, dimanche 9 février 2025
« Puisque le monde est démembré, puisque le langage et ce qui tient ensemble les choses ont déserté Rose, rien, il le sait, ne saurait la consoler, si ce n’est les mots des autres. »
LE TEMPS, Lisbeth Koutchoumoff Arman, samedi 8 février 2025
« Un cheminement de la nuit à la lumière où la lecture occupe une place centrale. »
LE PÈLERIN, Muriel Fauriat, vendredi 7 février 2025
« L’écriture magnétique de la Suisse Sarah Jollien-Fardel a raison de nos premières réticences. Car la situation de départ est étrange, effrayante même. »
MADAME FIGARO, Colombe Schneck, vendredi 7 février 2025
« La langue de John McGahern est très belle, comme les flots d’une mer, agitée puis tranquille. »