L’ALSACE, T. B., vendredi 11 avril 2014
« Le Vietnam dans les années 80. Avec ses valeurs et ses croyances, lesquelles, souvent, bousculent notre logique occidentale. Pour nous guider, Duong Thu Huong déploie une large palette littéraire. […] »
« Le Vietnam dans les années 80. Avec ses valeurs et ses croyances, lesquelles, souvent, bousculent notre logique occidentale. Pour nous guider, Duong Thu Huong déploie une large palette littéraire. […] »
« Le Marathon d’avril a accueilli l’une des plus grandes romancières vietnamienne contemporaine. Opposante farouche au régime de son pays, Duong Thu Huong vit à Paris depuis 2006, couvée avec affection par son éditrice Sabine Wespieser. […] »
« La romancière vietnamienne a connu toutes sortes de peurs et plusieurs vies, tantôt héroïne rouge, tantôt paria. Et si elle vit aujourd’hui à Paris, elle s’affirme toujours comme une combattante énergique et solitaire, une écrivaine engagée, une résistante. […]
Quatre murs est un livre criblé de points d’interrogation. […] Normal puisqu’il traite de la famille, et que dans (presque) toutes les familles on se pose des questions, surtout lorsque le non-dit s’est installé avec les années. Pourquoi rien n’est-il plus comme avant ? […]
« Léonor de Recondo viendra le 19 mai aux Subsistances, dans le cadre d’une table ronde d’écrivains qui s’interrogeront sur le lien de la biographie avec le roman. […] »
« Marie Richeux nous joue un petit air acidulé venu de sa cartographie secrète, un texte bref en prose qu’elle appelle polaroïd et qui ressemble, c’est certain, à une photographie apte à capter, emprisonner, une image fugitive de la réalité (réelle ? rêvée ?). »
« Salué notamment pour sa biographie de l’égérie du clubbing parisien, Jenny Bel’Air, François Jonquet propose avec Les Vrais Paradis une sorte de grand roman-poème à la langue chatoyante, rendant hommage aux mythiques années Palace. […] »
« On connaissait le François Jonquet critique culturel, sa silhouette longue, son visage sculpté au couteau et son dandysme comme une seconde nature. […] »
« François Jonquet aime l’art. Il aime Paris aussi, Paris la nuit… Et le voilà en 1979, les années Palace. Il y a du sexe, de la drogue de curieux oiseaux qui se promènent dans une nuit labyrinthique à la recherche du temps retrouvé. […] »
« C’est une autre époque, un autre siècle. Un monde qui n’existe plus mais qui est entré dans la légende. Retournons à Paris, à la fin des années 1970. […] »