ART PRESS, Anaël Pigeat, mars 2014
« Les Vrais Paradis sont une promenade spectrale dans un monde héroïque et disparu, celui qui a hanté les nuits du Palace de 1978 à 1984, mélange entre les grands bals de l’aristocratie et les bals populaires des lendemains de guerre, fête ininterrompue, orgiaque et cathartique, qui semblait scellée par la jeunesse, la musique et la drogue. […] »