LE MONDE DES LIVRES, Florence Noiville, vendredi 24 janvier 2014
« Duong Thu Huong – dont le nom signifie soleil et le prénom essence d’automne – se tient bien droite entre une photo de rizières et une vue imprenable sur les tours de Tolbiac. […] »
« Duong Thu Huong – dont le nom signifie soleil et le prénom essence d’automne – se tient bien droite entre une photo de rizières et une vue imprenable sur les tours de Tolbiac. […] »
« Le destin contrarié d’un jeune homosexuel dans le Vietnam des années 1980 inspire à la romancière l’admirable Les Collines d’eucalyptus. Contre toute attente, c’est au moment où les ailes opalines du brouillard s’abattent que la clarté et la douceur se frayent un chemin. […] »
« Quatre murs est un livre discrètement magnifique ! Un beau texte, qui s’empare de vous peu à peu, l’air de rien vous émeut, et vous baigne, comme une mer, dans la houle des questions qu’il soulève. […] »
« Ce nouveau roman forme un diptyque avec Sanctuaire du cœur. Pourquoi le jeune et honnête Thanh, fils d’intellectuels, s’est-il enfui, et qu’est-il devenu ? […] »
« Le lyrisme de Duong Thu Huong ravive le prisme du Vietnam, gangrené par le communisme et la difficulté d’assumer sa différence. Une errance en quête de liberté. […] »
« Elle avait séduit les lectrices de Elle qui lui avaient décerné leur Grand Prix pour Terre des oublis en 2007. On arpente ses Collines d’eucalyptus, roman fleuve de presque 800 pages, sans voir le temps passer. […] »
« Quatre murs confirme Kéthévane Davrichewy comme l’une de nos plus fines analystes de ce qui nous émeut. […] »
« La perte de l’innocence est au centre de ce nouvel opus d’une romancière qu’on aime tout particulièrement. Elle amène son lecteur à s’interroger sur ce thème en suivant quatre frères et sœurs adultes amenés à faire un voyage initiatique en Grèce après la mort de leur père. »
« L’auteure enlace ses personnages comme une maman le fait avec ses enfants. Son roman met en scène Thanh, homosexuel, et sa descente aux enfers pour n’avoir pu révéler son secret à ses parents. La plume est trempée dans une compassion qui fait du bien. »
« Duong Thu Huong livre un texte-fleuve, à la fois roman d’apprentissage et réflexion sur les désordres de l’amour, où tout se noue au pied des Collines d’eucalyptus. […] »