PÈLERIN MAGAZINE, Muriel Fauriat, jeudi 19 septembre 2013
« Italie, XVIe siècle. Michelangelo travaille dur dans la carrière de marbre de Carrare afin de choisir les meilleurs blocs pour une commande papale. […] »
« Italie, XVIe siècle. Michelangelo travaille dur dans la carrière de marbre de Carrare afin de choisir les meilleurs blocs pour une commande papale. […] »
Entrée à la 34e place dans le classement Livres hebdo des meilleurs ventes. « Sculpter les mots. […] »
« La voix de Marie Richeux, tous les jours de la semaine au mitan de l’après-midi, enveloppe les auditeurs de France Culture. C’est une voix avec des cailloux de rivière dedans, une rumeur d’enfance dans le grain, jeune et douce. […] »
« Dans une rentrée littéraire française sans grande surprise, un roman en dehors des clous comme Pietra viva de Léonor de Récondo fait du bien. […] »
« Ce roman à la sensualité diaphane nous emmène au printemps 1505 au moment où Michelangelo quitte Rome bouleversé. […] »
« Elle est ici comme chez elle. Ici à la terrasse du bar Michelangelo, devant son verre de Spritz […]. Michel-Ange lui-même est-il passé par Pietrasanta ? […] »
« C’est l’unique texte que publie, en cette rentrée littéraire, Sabine Wespieser. Et c’est un bijou sculpté dans le marbre. Empreint d’une musicalité poétique, éclairé par une lumière éblouissante, Pietra viva de Léonor de Récondo approche le mystère de la création d’un génie. Michelangelo. […] »
« Bien loin de l’image de l’artiste flamboyant et arrogant souvent associée à Michel-Ange, Léonor de Récondo dresse le portrait intime d’un homme touchant et vulnérable qui, confronté aux épreuves et aux souvenirs, va trouver sa vérité. […] »
« Ce troisième roman de l’auteure est une œuvre d’art délicatement ciselée à l’image des merveilleuses sculptures de Michelangelo, héros de son histoire. […] »
« Ce voyage à ciel ouvert, immersion dans une cathédrale naturelle de pierre, lui permet de nourrir sa dévotion en épuisant son corps dans l’effort : en extrayant les blocs de marbre blanc tombés de la montagne verte, il dessine le monde. […] »