METZ FEMMES et NANCY FEMMES, dimanche 1er septembre 2013
« S’abandonnant à ses émotions au contact d’un petit garçon, ses souvenirs, jusqu’alors enfouis, resurgiront et se fixeront de la plus belle manière dans la matière vive du marbre. […] »
« S’abandonnant à ses émotions au contact d’un petit garçon, ses souvenirs, jusqu’alors enfouis, resurgiront et se fixeront de la plus belle manière dans la matière vive du marbre. […] »
« Violoniste de musique baroque, Léonor de Récondo sait que l’art doit autant aux émotions qu’à la technique. Pour raconter Michel-Ange, elle a choisi l’année 1505. […] »
« Une poussière étoilée tombe des mots de Léonor de Récondo, et la finesse de ces particules provient d’un geste sûr, comme envoûté. […] »
« Sous la très belle plume de Léonor de Récondo, Michel-Ange et ses œuvres prennent vie le temps d’un cheminement intérieur et nous émeuvent par leur sensibilité et leur délicatesse. […] »
« Dans ses mémoires, elle témoigne non seulement de son parcours mais aussi de la vie et de la société en Irlande, à New York ou à Londres. C’est foisonnant de souvenirs. C’est un beau portrait d’une femme indépendante, […] »
« Michèle Lesbre a rencontré Victor Dojlida à sa sortie de prison, l’a côtoyé jusqu’à sa mort en 1997. Elle a recueilli sur cassettes leurs conversations. A également consulté les archives de l’époque. […] »
« Cette nuit d’introspection est un monologue intérieur sur sa propre existence. Comme si la mort qui l’avait approchée en souriant avait réveillé certaines blessures, rappelées soudain à son corps courbatu. […] »
« Le portrait d’un père espiègle, arrivé de Téhéran pour préparer une thèse qu’il ne finira jamais. À Paris, l’appartement familial devient le refuge des Iraniens qui fuient la République islamique. Un texte délicat et tendre, même dans la douleur. Notre favori ! »
« Enfin deux coups de cœur pour terminer :†Guillaume et Nathalie de la romanciËre haÔtienne Yanick Lahens, qui nous raconte dans une langue magnifique l’histoire d’un sociologue et d’une architecte qui se sont rencontré […] »
« Il y a de ces vies qu’on n’attendait pas. De ces écritures aussi. C’est un peu l’impression qu’on a en lisant Richard W. de Vincent Borel. Ce roman somptueux, biographie romancée sur Richard Wagner, commence lors de la première présentation de son opéra Tristan et Iseult à Munich en 1865. […] »