LE TEMPS, Arnaud Robert, Port-au-Prince, samedi 1er juin 2013
« Elle n’a pas le cœur à écrire le grand roman des Amériques. Elle ajuste de courtes phrases, qu’elle élague encore, de peur d’expliquer trop, de diriger le regard ; elle fomente une histoire infime qu’elle a méditée longtemps, […] »