TÉLÉRAMA, Stéphane Ehles, mercredi 15 novembre 2023
« La douce et chaleureuse humanité des habitués d’un bistrot viennois. »
« La douce et chaleureuse humanité des habitués d’un bistrot viennois. »
« “Le Café sans nom“ est magnifique dans les portraits qu’il dresse ».
« Chaque mot peut ouvrir un monde. Quand j’écris, je me dis qu’il devrait y avoir un point d’interrogation derrière chaque phrase. Ce questionnement est ce qui me motive et me pousse à écrire, encore et encore. »
« Robert Simon est un personnage d’une dignité et d’une justesse exemplaires. La tendresse qu’a Robert Seethaler pour ses personnages est une nouvelle fois immense. Comme son talent à nous offrir des scènes aussi simples que fortes, le plus souvent très visuelles ».
« La mélancolie qui s’en dégage donne une note émouvante qui nous entraîne dans une atmosphère chaleureuse, où l’on sent jusqu’aux effluves de cannelle. Du grand art. »
« Les années se succèdent, les amours et les amitiés se nouent et se dénouent, on oublie les motifs des vieilles querelles, la chaudière s’use, le gérant vieillit. Seule persiste l’âme du lieu, que l’auteur sait si bien nous faire sentir. »
« Je travaille à faire passer une certaine musicalité dans mes histoires. Il faut que cela soit présent, se fonde dans le texte sans jamais apparaître directement »
« Le lecteur n’a plus qu’à tendre l’oreille : propos de bistrot, saillies à l’emporte-pièce. »
« Ce livre est ainsi un objet des plus étonnants : le récit intime de la quête d’un père par sa fille […] doublé d’une enquête journalistique très pointue sur l’industrie du nucléaire. »
« Dans cet excellent roman à lire avec une classe de scientifiques, la dérision des deux trajectoires parallèles, celle du père et celle du nucléaire commercial idolâtré il y a encore trente ans, donne au titre « Generator » sa charge grotesque et ironique. »