VOGUE, Nelly Kaprièlian, mai 2013
« Reste le témoignage d’une vie éclose en plein basculement sociétal, passant de la campagne à l’exceptionnel. […] »
« Reste le témoignage d’une vie éclose en plein basculement sociétal, passant de la campagne à l’exceptionnel. […] »
« À 82 ans, […] la grande dame des lettres irlandaises est enfin sortie de sa réserve pour écrire cette Fille de la campagne, des mémoires où elle revient frapper à la porte de la ferme familiale avant d’évoquer son adolescence sacrifiée […] »
« Des Filles de la campagne, premier roman, à Fille de la campagne, ces mémoires qu’Edna O’Brien s’était juré de ne jamais écrire, il y a un demi-siècle. Il y a aussi ce singulier, qui distingue l’autobiographie de la fiction, […] »
« Commencée dans l’odeur du pain comme en écho à la saveur de la madeleine proustienne, cette entreprise littéraire se déploie avec puissance. À partir des matériaux offerts par les expériences de la vie, elle suit un processus qui n’est plus […] »
« À la veille du séisme qui a ravagé Haïti, l’auteure nous conte une histoire d’amour sensuelle et grave entre un quinqua et une jeune femme de 30 ans. En parallèle, elle rend hommage à son pays. Vibrant. »
« L’Haïtienne Yanick Lahens oppose, à la violence du séisme, les frémissements du désir. Entre les lignes de Failles, Guillaume et Nathalie, qui donnent son titre au nouveau livre de la romancière,[…] »
« From Jean-Claude Ellena, the unconventional in-house perfumer for Hermès, comes his first novel, La Note Verte (Sabine Wespieser, €16), a romp through Paris’s marketing world, where fashion trends rule the fragrance industry. […] »
« De parfumeur-auteur à auteur-écrivain, il aura fallu à Jean-Claude Ellena, maître ès fragrances de renommée conséquente, quelque quarante années pour sauter le pas. Culotté ? Oui, mais symétriquement, vraie liberté de création. […] »
« Rien d’autre dans sa vie n’importe vraiment, sinon l’urgence d’écrire, et ce depuis plus de cinquante ans. […] À 82 ans, Edna O’Brien reste une femme de caractère, […] »
« Est-elle dupe de ces blandices ? Évidemment non. Car seule compte in fine l’écriture, cette prose fine et serrée comme une gaze (Philip Roth dixit) […] »