LE TARN LIBRE, vendredi 22 février 2013
« Michèle Lesbre nous offre un nouveau roman doux et poétique sur l’importance de la vie et la beauté de chaque instant. »
« Michèle Lesbre nous offre un nouveau roman doux et poétique sur l’importance de la vie et la beauté de chaque instant. »
« Elle va rejoindre l’homme qu’elle aime. Mais, dans le métro, un vieil homme se jette sur la voie. La vie, l’amour, ne tiennent-ils qu’à un fil ? […] »
« La réédition du livre de la Parisienne Michèle Lesbre sur Victor Dojlida est l’occasion de redécouvrir la vie de cet Homécourtois, droit et entier, qui a passé quarante ans en prison au sortir de la guerre et de Dachau. […] »
« Dernier métro »
« Michèle Lesbre, comme à son habitude, trace un portrait […] d’une sensibilité extrême. »
« Lion rugissant, avec sa crinière rousse où point le blanc de l’âge. Ainsi apparaît Richard Wagner déjà quinquagénaire quand Vincent Borel s’en saisit pour le portraiturer dans son Richard W., roman tout à fait flamboyant. […] »
« Je ne suis pas une raconteuse d’histoires. Je me mets toujours au service de quelque chose. Si c’est une émotion forte, il faut qu’elle travaille en moi. […] »
« On se souvient de la phrase de Modiano placée en épigraphe de Sur le sable : Il y a des êtres mystérieux – toujours les mêmes – qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de votre vie. […] »
« Richard éclaire Wagner, l’illumine, le transfigure, le rend accessible et terriblement humain. […] Chapeau bas à Vincent Borel d’avoir relevé le challenge d’incarner Richard, d’en faire un être de chair, alors que Wagner aurait tendance à se muer dans le domaine de l’esprit. […] »
« Il aura fallu presque une décennie à Michèle Lesbre pour accoucher d’Écoute la pluie. Non que l’écriture du roman ait été douloureuse. […] »
« Un événement tragique, le suicide d’un homme sous ses yeux, conduit la narratrice à manquer son train, celui qui devait la conduire à l’Hôtel des Embruns où l’attend son amant. […] »