MARIANNE, Alexis Liebaert, samedi 1er décembre 2012
« Avec cette cantate funèbre, dont chaque voix vibre de rage ou de désespoir, la Québécoise Catherine Mavrikakis signe l’un des romans les plus forts et les plus envoûtants de cette saison. »
« Avec cette cantate funèbre, dont chaque voix vibre de rage ou de désespoir, la Québécoise Catherine Mavrikakis signe l’un des romans les plus forts et les plus envoûtants de cette saison. »
« Cette écrivaine irlandaise est une orfèvre du genre, une délicate dentelière des récits courts, une sorcière subtile qui distille ses petites gouttes de poison dans le chaudron avant de faire exploser la potion finale. […] Splendide. »
« Claire Keegan est championne dans l’art subtil de la suggestion. Il faut qu’une partie de l’histoire soit cachée pour que le lecteur se réveille. C’est pour cela que je préfère les nouvelles. Je les envisage comme des moments cruciaux […] »
« Jean Mattern égrène ses cailloux : les thématiques qui lui sont chères (le mystère des origines, la culpabilité, la perte, l’exil, le rapport à la judéité, la transmission) et les interrogations qui traversent tous ses derniers livres. […] »
« L’art de la brièveté, dans sa version anglo-saxonne, n’est pas un secret pour Claire Keegan. À travers les champs bleus, son dernier opus paru chez Sabine Wespieser éditeur, en est la preuve par huit. […]»
« Imaginez une enfance qui prendrait des allures d’éternel 1er avril, au contact d’un père fantasque et passionné. Le prologue s’ouvre pourtant sur l’annonce de la mort du père, Behrouz. Sous la plume de sa fille, la figure paternelle devient celle d’un héros. […] »
« Avec son troisième recueil de nouvelles, l’Irlandaise Claire Keegan explore l’intimité de personnages rongés par leurs envies, leurs rancoeurs, leurs ratés. Toujours en sourdine. […] »
« [Claire Keegan] nous fait voir la beauté des choses dans une prose claire, exigeante, captivante, qui a l’éclat de la pierre polie. En observant de très près le monde qui l’entoure et en puisant dans ses souvenirs, elle suit, […] »
« Dans la nouvelle, cette forme ramassée, elle a trouvé la bonne distance pour raconter des tranches de vie au moment où tout bascule. Où les êtres choisissent leur destin, sans savoir s’ils prendront ou non la bonne décision. […] »
« Instinctif, nostalgique, ironique et poétique, ce premier roman est aussi réussi qu’attachant. »