OPÉRA MAGAZINE, François Lehel, février 2013
« Dans un montage habile donnant effectivement à l’ensemble la cohérence et la force d’une fiction, avec d’ingénieux flash-back, quatre parties, partant de la création de Tristan à Munich, en 1865 […] »
« Dans un montage habile donnant effectivement à l’ensemble la cohérence et la force d’une fiction, avec d’ingénieux flash-back, quatre parties, partant de la création de Tristan à Munich, en 1865 […] »
« Extérieur nuit, une femme désorientée erre dans les rues de Paris noyées de pluie. Michèle Lesbre excelle dans l’art du récit de voyage intérieur, ce moment singulier qui rend perméables les strates du passé. […] »
« C’est d’abord une question de paysage, de couleurs, de lumière, une affaire de perceptions : les traces rouge sang, le gris d’acier de la mer, une robe verte achetée et laissée sur un banc, un vase ébréché dont on ne peut se défaire… […] »
« Yassaman Montazami, écrivain française, s’est vue remettre le Prix’ambule des lecteurs, pour son premier roman Le Meilleur des jours. […]»
« On peut lui attribuer la grandeur de Sophocle ou le souffle de Shakespeare. On peut rappeler qu’il est mort en galante compagnie, comme tel président de la République française. […] »
« Elle assiste à un suicide dans le métro, elle n’ira pas à son rendez-vous d’amour, à l’hôtel des Embruns. Alors elle marche dans Paris, se souvient. Les images se bousculent. Un court roman dense et lumineux sur le désir de vivre. Oui, mais comment ? »
« Tout savoir sur Richard Wagner. Tout, vraiment tout, et pas seulement les raisons pour lesquelles le grand compositeur fut récupéré par Adolf Hitler et sa clique, bien après sa mort. […] »
« Le regard d’une fille attachée au portrait d’un homme attachant : voilà ce que porte en fond ce premier roman à l’écriture absolument juste qui ne cache pas le talent de conteuse de Yassaman Montazami. […] »
« Isolde, Eva, Elsa, Brunehilde, à elle seule Cosima incarne toutes les femmes imaginaires de Wagner. Car l’artiste est avant tout un grand amoureux, transcrivant sans fard la force des sentiments. […] »
« Richard W. s’ouvre sur des pages étincelantes, toutes éclatantes d’or et de pourpre, qui invitent le lecteur à se glisser dans une loge du Théâtre royal de la cour à Munich, le 10 juin 1865, soir de la première de Tristan et Isolde. […] »