OUEST FRANCE, dimanche 27 janvier 2013
« Yassaman Montazami, écrivain française, s’est vue remettre le Prix’ambule des lecteurs, pour son premier roman Le Meilleur des jours. […]»
« Yassaman Montazami, écrivain française, s’est vue remettre le Prix’ambule des lecteurs, pour son premier roman Le Meilleur des jours. […]»
« On peut lui attribuer la grandeur de Sophocle ou le souffle de Shakespeare. On peut rappeler qu’il est mort en galante compagnie, comme tel président de la République française. […] »
« Elle assiste à un suicide dans le métro, elle n’ira pas à son rendez-vous d’amour, à l’hôtel des Embruns. Alors elle marche dans Paris, se souvient. Les images se bousculent. Un court roman dense et lumineux sur le désir de vivre. Oui, mais comment ? »
« Tout savoir sur Richard Wagner. Tout, vraiment tout, et pas seulement les raisons pour lesquelles le grand compositeur fut récupéré par Adolf Hitler et sa clique, bien après sa mort. […] »
« Le regard d’une fille attachée au portrait d’un homme attachant : voilà ce que porte en fond ce premier roman à l’écriture absolument juste qui ne cache pas le talent de conteuse de Yassaman Montazami. […] »
« Isolde, Eva, Elsa, Brunehilde, à elle seule Cosima incarne toutes les femmes imaginaires de Wagner. Car l’artiste est avant tout un grand amoureux, transcrivant sans fard la force des sentiments. […] »
« Richard W. s’ouvre sur des pages étincelantes, toutes éclatantes d’or et de pourpre, qui invitent le lecteur à se glisser dans une loge du Théâtre royal de la cour à Munich, le 10 juin 1865, soir de la première de Tristan et Isolde. […] »
« Critique musical et romancier, Vincent Borel dévoile l’homme qui se cache derrière le mythe de Wagner, mettant en résonance l’œuvre et la passion du compositeur pour Cosima, fille de Liszt et épouse d’Hans von Bülow, le chef d’orchestre qui créa Tristan et Isolde. […] »
« Pour commencer en beauté l’année du bicentenaire de la naissance de Wagner, le Richard W. de Vincent Borel ne se lit pas, il s’écoute. De préférence par une après-midi d’hiver brumeuse et froide, comme les paysages de Bavière où le compositeur allemand commença sa carrière. […] »
« Dans ce recueil de nouvelles, dont sept sur huit se déroulent en Irlande, Claire Keegan nous donne à voir, à rencontrer, plutôt, des êtres touchants qui se trouvent, pour la plupart, à un moment clé de leur vie. […] »