PLEINE VIE, Olivier Barrot, septembre 2012
« Le proverbe anglais dit Three’s a crowd : à trois, c’est la foule ! L’auteur s’interroge sur cette dérive des sentiments qui oblige père et fils à inclure un tiers […] »
« Le proverbe anglais dit Three’s a crowd : à trois, c’est la foule ! L’auteur s’interroge sur cette dérive des sentiments qui oblige père et fils à inclure un tiers […] »
« Âgé de vingt ans, brillant étudiant en médecine, Simon est atteint d’un gliome, forme de cancer du cerveau qui touche les jeunes entre 18 et 25 ans. Ce mal n’est pas opérable. Seule la chimiothérapie permet de le réduire ou de l’annihiler. […] »
« Dans un roman remarquablement construit et maîtrisé, quatre personnages exposent, chacun leur tour, leur rapport avec le crime et révèlent une Amérique en perdition : racisme, violences, crise économique et pauvreté, extrémisme religieux… […] »
« Chacun sur son île. C’est avec cette qualité d’insulaire que vit, flotte et meurt (pour l’un d’entre eux) chacun des personnages du roman de Catherine Mavrikakis. Chacun seul au monde malgré tout ce qui le lie aux autres. »
« Les Derniers Jours de Smokey Nelson, l’impressionnant nouveau roman de Catherine Mavrikakis. […] »
« La Canadienne Catherine Mavrikakis livre un magnifique roman choral sur l’Amérique. Un des grands livres de la rentrée. […] »
« On pense inévitablement au Persépolis de Marjane Satrapi : c’est le portrait d’un Iran révolu, d’une bourgeoisie déchue, d’une génération perdue, qui est ici brossé. Mais Le Meilleur des jours est empreint d’une poésie singulière. […] »
« Le Meilleur des jours est un chant d’amour au père disparu. […] Avec finesse, Yassaman Montazami parle de l’exil et de la révolution islamique. Son récit autobiographique est juste, touchant. »
« Dans ce très beau premier roman, Yassaman Montazami nous invite à rencontrer son père, intellectuel iranien, grand admirateur de Karl Marx, charmeur drôle, du genre à cuisiner un canard à l’orange en plein milieu de la nuit comme si c’était tout à fait normal. […] »
« La langue de Jean Mattern est limpide et belle, ses romans, portés par une écriture maîtrisée à la perfection, se lisent d’une traite […] »