LA VIE, Victorine de Oliveira, jeudi 13 octobre 2022
« En écrivain maîtrisant l’art de la juste distance, Gabriel Byrne donne une chair poignante à sa vérité. »
« En écrivain maîtrisant l’art de la juste distance, Gabriel Byrne donne une chair poignante à sa vérité. »
« Ce dur premier roman, d’une grande finesse psychologique, pose magnifiquement la question du pardon.
Porté par une écriture empreinte de poésie, il a reçu le Prix du roman Fnac. »
« Intense et d’une absolue justesse, ce roman fiévreux piste le destin de la narratrice qui file, en équilibre toujours plus instable, sur le fil d’une vie à jamais incapable de gérer les sentiments. »
« La langue âpre de la romancière obéit à un rythme imprévu. Sa prose vous laisse la gueule ouverte avec un pansement sur la joue. »
« On est impressionné par la rigueur avec laquelle cette primo-romancière fait d’une tragédie, un si beau livre. Et de la littérature, une arme de combat. »
« Grâce à ces antiennes évitées, « Sa préférée » est singulier, émouvant et fier, orgueilleux jusque dans son style souvent elliptique, à l’image du titre du livre. »
« Un silence terrifiant. La journaliste suisse se glisse dans la peau d’une jeune fille, témoin impuissant des abus de son père. »
« Porté par une écriture puissante, ce roman dit justement la souffrance, l’empêchement d’être heureux, la difficulté à se construire, l’impossibilité de pardonner les autres et surtout soi-même. »
« À la lecture de ses mémoires, c’est un homme du texte, un auteur à la plume incisive et très sûre, que l’on découvre en Gabriel Byrne. »
« La force de ce premier roman […] tient autant à la description physique de cette dictature patriarcale, comme moyenâgeuse, qu’à la manière dont Jeanne, « née morte », raconte son évasion et sa survie […] « Sa préférée » est aussi le roman préféré des libraires de la FNAC qui lui ont décerné leur prix. On les comprend. »