LA LIBRE BELGIQUE, Fernand Denis, mercredi 23 novembre 2022
« Gabriel Byrne est aussi bon écrivain qu’il est bon acteur : sensible, observateur, vulnérable, pudique, sincère.»
« Gabriel Byrne est aussi bon écrivain qu’il est bon acteur : sensible, observateur, vulnérable, pudique, sincère.»
« Roman d’une sombre clarté, loin du récit national né de la lutte pour l’indépendance. Affranchi du collectif, l’individu s’éveille seul dans un lit froid. »
« La force de ce roman, c’est d’abord la simplicité de son écriture, un peu comme celle d’Annie Ernaux, une écriture de la quotidienneté avec ses petits riens, ses non-dits, ses silences. »
« Avec « Sa préférée », l’auteure et journaliste valaisanne Sarah Jollien-Fardel signe un premier roman très fort sur la violence domestique et les blessures familiales. »
« Byrne poursuit à travers ses souvenirs une saisissante quête de sincérité. »
« En abordant la violence des hommes et la lâcheté, Sarah Jollien-Fardel évite avec subtilité tout apitoiement et offre même des moments lumineux dans son très beau livre. »
« Avec « Mes fantômes et moi », le comédien inoubliable dans « Excalibur » ou « Usual Suspects » signe un authentique objet littéraire innervé par sa terre natale. »
« Jeanne, la narratrice du roman de Sarah Jollien-Fardel, raconte la brutalité d’un père de famille, d’un époux, et elle y va directement, pas d’effets, de périphrases, de pathos. »
« La tempérance lui a rendu la mémoire, il faut croire, et les souvenirs déferlent, pêlemêle. »
« Balançant sans cesse entre seconde et troisième personne du singulier, ce récit duquel plane un étrange mystère fait écho à nombres de passages de la vie de son auteur. »