AIMER LIRE, Christelle Moncalvo, librairie Payot (Sion), septembre 2022
« Avec ses mémoires, c’est bel et bien en écrivain que nous pouvons le rencontrer. […] Un style envoûtant, souvent drôle et empreint de poésie. »
LE MATRICULE DES ANGES, Virginie Mailles Viard, septembre 2022
« La réussite de ce premier roman est cette variation autour d’un même thème, la violence du père qui s’insinue partout au fil des années, mais aussi cette plongée dans ce que l’on refuse de voir, ce que l’on n’explore pas : le jusqu’au-boutisme de Jeanne est à la mesure du silence social abyssal qui a entouré son enfance violentée. »
VERSION FEMINA, Anne Michelet, samedi 10-dimanche 11 septembre 2022
« Un livre merveilleux, fin, sensible et juste que l’on savoure jusqu’à la dernière page. »
LE NOUVELLISTE, Jean-François Albelda, vendredi 9 septembre 2022
« Au Livre sur les quais à Morges, Sarah Jollien-Fardel a pu mesurer l’impact de son écriture sur le public. »
LE TEMPS, Lisbeth Koutchoumoff, vendredi 9 septembre 2022
« Sarah Jollien-Fardel reçoit le Prix Fnac »
LA CROIX, Antoine Perraud, jeudi 8 septembre 2022
« Un livre bouleversant, composé à la manière d’une danse qui chaloupe entre Éros et Thanatos »
LE MONDE DES LIVRES, Denis Cosnard, jeudi 8 septembre 2022
« Un homme violent fait de la vie de son épouse et de ses filles un enfer. « Sa préférée », de Sarah Jollien-Fardel, premier roman remarquable. »
LE FIGARO LITTÉRAIRE, article et entretien avec Sébastien Lapaque, jeudi 8 septembre 2022
« « Jeanne est en guerre. Depuis toujours. Pour toujours », écrit Sarah Jollien-Fardel dans un style sec, sans apprêt, parfaitement accordé à son propos lorsqu’il s’agit d’établir le catalogue des horreurs familiales. »
LE NOUVELLISTE, Jean-François Albelda, mercredi 7 septembre 2022
« Le roman « Sa préférée » de l’auteure valaisanne a été sélectionné par l’Académie Goncourt, qui a retenu quinze titres. »
LIRE-MAGAZINE LITTÉRAIRE, Laëtitia Favro, septembre 2022
« Sans voyeurisme ni fausse pudeur, les mots de Sarah Jollien-Fardel s’avèrent d’une infinie justesse pour dire ce passé qui, s’il ne peut totalement s’effacer, concède à chacun le droit de se réinventer. »