LE JOURNAL DU DIMANCHE, Élise Lépine, dimanche 6 décembre 2020
« Il faut du talent pour brosser en quelques dizaines de pages, sans laisser le lecteur sur sa faim, le portrait d’un homme sensible, confronté à la dureté du monde. »
« Il faut du talent pour brosser en quelques dizaines de pages, sans laisser le lecteur sur sa faim, le portrait d’un homme sensible, confronté à la dureté du monde. »
« Renouant avec la force et la délicatesse qui avaient fait le succès des Trois Lumières […], Claire Keegan signe un texte lumineux […]. »
« Un récit court et sensible, qui évoque des vies étouffées par la religion dans une ville modeste d’Irlande, et sonne remarquablement juste. »
« Ce livre d’à peine quatre-vingts pages de Michèle Lesbre est un petit chef d’œuvre. »
« Un conte de Noël ? L’Irlandaise Claire Keegan dépoussière et déniaise le genre dans une œuvre d’une beauté absolue. »
« Un petit chef d’œuvre pour prendre de l’altitude. »
« Un livre sur la perte d’un pays, des repères, d’un père. »
« Cinq décennies traversées à grandes enjambées dans un touchant témoignage sur l’évolution de l’école et sa place déplacée dans la société. »
« Avec « Mauvaises herbes », la Libanaise Dima Abdallah signe un premier roman qui a marqué la rentrée littéraire. Pour TelQuel, elle revient sur ce livre, avec trois mots d’ordre : amour filial, séparation et destruction. »
« L’Irlandaise, nouvelliste hors pair, publie un bref et merveilleux roman. »