LE MATRICULE DES ANGES, Serge Airoldi, avril 2011
« Au fond, la fillette, de même que le texte aiguisé de Claire Keegan, opèrent comme un bain argentique dans lequel un photographe aurait plongé un négatif […] »
« Au fond, la fillette, de même que le texte aiguisé de Claire Keegan, opèrent comme un bain argentique dans lequel un photographe aurait plongé un négatif […] »
« Une petite fille, un été, sa mère étant une fois de plus enceinte, est emmenée chez des gens qu’elle ne connaît pas […] »
« […] Par légères touches, par glissements délicats, l’écrivaine Claire Keegan laisse s’ouvrir sous nos yeux la jeune fleur, soudain réchauffée par deux regards aimants […] »
« Un récit tout en lyrisme contenu et en délicatesse qui confirme le grand talent de l’Irlandaise Claire Keegan »
« Sous le ciel des hommes, l’humanité n’est-elle pas capable du pire comme du meilleur ? »
« C’est avec une infinie douceur que Claire Keegan se glisse dans le cœur d’un homme qui n’a jamais oublié ses origines. »
« Edna O’Brien, dont les premiers livres furent brûlés car jugés scandaleux par l’Église, poursuit avec une urgence et une magnificence intactes son combat littéraire au nom des femmes et de leur liberté. »
« Diane Meur a réussi une fable caustique sans concession sur les utopies, les hypocrisies et les cruautés d’un quotidien régi par un système qui oublie trop souvent l’humain. Diablement intelligent. »
« Dans une petite ville imaginaire mais qui pourrait être en Suisse ou au Luxembourg, l’autrice belge dépeint avec maestria une Europe qui se calfeutre tout en voulant aider le reste du monde. Un bal des cruautés sous une apparente douceur. »
« Dans les années 30, Catherine, la Blanche et Maria, la Noire, sont deux amies inséparables qui vivent côte à côte dans une ferme au nord de Johannesburg. […] »