PRIMA, août 2006
« Jonglant entre passé et présent, ce roman tout en finesse est servi par l’écriture sobre et impressionniste de l’auteur, et conserve jusqu’à la fin un parfum de mystère. »
« Jonglant entre passé et présent, ce roman tout en finesse est servi par l’écriture sobre et impressionniste de l’auteur, et conserve jusqu’à la fin un parfum de mystère. »
« Le portrait d’un homme ordinaire, brossé par une narration efficace, sensible et captivante. Un roman d’une grande justesse dont la beauté touche le lecteur tout au long du récit. »
« Diane Meur interroge ici les perspectives d’un monde à contre-courant de celui que l’on connaît – concentré sur l’économie et vecteur d’injustices et d’inégalités -, d’un monde où les écrits des « utopistes » ne restent pas couchés sur le papier mais acquièrent une dimension performative. Des vertus du rêve… »
« Votre roman de l’été, c’est celui-là ! »
« L’ombre du passé ne s’évapore jamais vraiment dans ce premier roman d’une jeune Sud-Africaine de talent, où l’enfance insouciante et la gravité de l’âge adulte se font écho en d’habiles allers-retours. »
« On aime depuis longtemps l’écriture de Michèle Lesbre, délicate intime. On la retrouve ici pour un récit qui débute en 1945 lorsqu’elle est en dernière année de maternelle dans un quartier de Roanne. Michèle ignore encore, en jouant dans les classes, qu’elle sera institutrice. »
« Toute l’œuvre de Michèle Lesbre est une histoire de traces mnésiques et de fidélité à soi-même. Tableau noir, récit autobiographique de cette ancienne directrice d’école, irradie d’une douce mélancolie. »
« Comment imaginer une société accomplie, hors d’un capitalisme barbare, sous le ciel d’hommes et de femmes qui veulent encore avoir le droit d’espérer en l’humanité ? »
« Récit nostalgique mais vif, engagé, en hommage au métier d’enseignante tel qu’elle l’a pratiqué. »
« […] Entre réalise et onirisme, la maison, la rivière, le lac et l’église prennent vie dans un pays intérieur et lointain où l’on aime se perdre. »