ELLE, Jeanne de Ménibus, vendredi 2 octobre 2020
« Reste la littérature pour transcrire ce qu’on peine tant à vivre. […] »
« Reste la littérature pour transcrire ce qu’on peine tant à vivre. […] »
« C’est un livre né d’un chagrin et qui incite autant aux souvenirs qu’à la réflexion. »
« Au fond, c’est Diane Meur qui rédige le libellé de ces rebelles impuissants : charge magistrale sur le consumérisme, le productivisme, l’usage de la technique dans un système marchand dont le but avoué est d’évacuer le travail humain, réduit à un pur coût. »
« Ce roman frappe par la finesse de sa construction et son art de mêler intimement l’intrigue aux éléments du décor. »
« Dima Abdallah réussit admirablement à faire ressentir la forme de folie douce bâtie intérieurement pour repousser la vraie démence. »
« Un livre magnifique et profond d’une sidérante richesse. »
« La langue, chatoyante, poétique, aux parfums de jasmin et de bougainvillier, mais aussi cette guerre vue à hauteur d’enfant et d’adulte impuissant sont le sel de ce récit intriguant. […] »
« Un délicat premier roman né sur le terreau fertile de la nostalgie. »
« Ce roman ne se contente pas d’être bouleversant. Il nous incite à réfléchir. »
« Ce roman d’apprentissage raconte l’histoire d’un chaos sans nostalgie, d’une harmonie préexistante pour le rendre supportable. »