L’EXPRESS, Marianne Payot, 3 juin 2020
« Avec élégance et sobriété Christine de Mazières, haut fonctionnaire d’origine franco-allemande, puise dans sa besace de mots délicats pour conter l’Histoire passée et présente à hauteur d’hommes. »
« Avec élégance et sobriété Christine de Mazières, haut fonctionnaire d’origine franco-allemande, puise dans sa besace de mots délicats pour conter l’Histoire passée et présente à hauteur d’hommes. »
« Roman polyphonique qui, au-delà (si l’on ose dire) de donner la parole aux morts, […] dessine au final le tableau incroyablement vivant d’une petite ville imaginaire. »
« Ce que les morts de Paulstadt ont à dire ne sera pas emporté dans le vent… »
« Face au scandale de la mort, à sa radicalité, Catherine Mavrikakis propose une collection de récits de deuil au ton insolite et incisif. »
« Ici, tous les morts, et ils sont nombreux, s’appellent Hervé bien qu’ils ne meurent pas tous, comme Hervé Guibert, du sida, « Ce mot ennemi, mon compagnon de vie » […] »
« Vingt ans ont passé entre son premier livre, « Deuils cannibales et mélancoliques », et « L’Annexe » son huitième et nouveau roman. »
« Ce formidable roman d’aventures en chambre qui doit autant au polar qu’à l’histoire littéraire. »
« C’est l’histoire d’une fascination qui tourne à l’obsession. »
« De quoi peuvent bien nous parler les morts, sinon de la vie elle-même ? De leurs joies et de leurs déceptions, de leurs victoires comme de leurs regrets. »
« Catherine Mavrikakis signe un roman singulier d’une rare virtuosité sur l’isolement, à la fois jeu littéraire et policier, qui fait un bien fou. »