TÉLÉRAMA, Marine Landrot, samedi 2 février 2019
« […] Elle accompagne son père en fin de vie brutale […]. Jamais longtemps, sur quelques pages, le temps de respirer à son chevet, le souffle court, la tête en chaos. […] »
« […] Elle accompagne son père en fin de vie brutale […]. Jamais longtemps, sur quelques pages, le temps de respirer à son chevet, le souffle court, la tête en chaos. […] »
« […] Ce sont des livres de vie, dont on sort comme apaisé. Léonor de Récondo se souvient de cette nuit du 24 au 25 mars 2015, quand sa mère et elle ont accompagné Félix, son père, « vers la mort ». […] »
« Serge Mestre fait renaître en mots une femme de l’image. Une amoureuse indomptable qui n’aura eu que vingt-sept ans pour laisser les traces de son inlassable chasse aux clichés de ceux qui ont fait l’Histoire. […] »
« Qu’elle nous fasse voyager en Transsibérien (Le Canapé rouge, 2007) ou entendre les éléments (Écoute la pluie, 2013), Michèle Lesbre a le don de viser juste pour toucher pile. Son nouveau roman, ode au théâtre et balade italienne, ne déroge pas à la règle. Un condensé (99 pages) de beauté. »
« […] De cette longue nuit d’hôpital, accompagnée de Cécile, sa mère, Léonor de Récondo tire aujourd’hui un envoûtant roman. À la hauteur de l’amour porté à ce père sculpteur et peintre, qui, luthier d’un jour, lui façonna un violon de légende. […] »
« […] Avec une plume renversante de poésie, l’auteure de Amours et de Point cardinal se livre dans un hommage bouleversant à son père disparu. Sublime. »
« On attend désormais avec impatience les romans de cette écrivaine violoniste si sensible et talentueuse. Nulle déception avec son nouveau livre consacré à la dernière nuit de son père, Félix de Récondo. […] »
« L’auteur d' »Ainadamar » envisage et dévisage Gerda Taro. Comment elle vécut, pourquoi et comment elle mourut. Rafael Aldiberti disait d’elle « qu’elle avait le sourire d’une jeunesse immortelle ». […] »
« […] Les époques se superposent, tel un mille-feuille au goût si doux de mélancolie. Il n’y a pas d’âge pour aimer ou pour regarder la vie qui passe. Michèle Lesbre célèbre la délicatesse des mots, choisis avec soin, et des émotions jaillissant par petites touches surprenantes. »
« Dans un hommage à son père, Léonor de Récondo loue l’amour, refuge contre la violence du monde. Que faire en littérature de la singulière et et indicible douleur face à la mort d’un père ? […] »