LE JOURNAL DU DIMANCHE, Bernard Pivot, dimanche 27 mai 2018
« James Fletcher est mort à l’âge de 55 ans pendant son sommeil, d’une apnée plus forte que les autres. […] »
« James Fletcher est mort à l’âge de 55 ans pendant son sommeil, d’une apnée plus forte que les autres. […] »
« Réédité vingt ans après sa sortie,ce roman d’Edna O’Brien éblouit toujours par sa force et sa fureur. […] »
« Partition ardente sur le trouble amoureux et la force de la musique. Concertiste célébrée, la narratrice du superbe roman de Jean Mattern a été surnommée la “prophétesse”, la “Greta Garbo du piano”. […] »
« Clarence Boulay signe un premier roman magnifique. Tristan da Cunha est un confetti posé sur l’eau aux confins de l’Atlantique Sud, perdu entre l’Afrique du Sud et le Brésil. Ida et son compagnon Léon, […] »
« Alexandre était parti, bardé d’idéal et d’esprit d’aventure, défendre en Indochine la France coloniale. Là-bas, aux côtés de Diop, un compagnon d’armes sénégalais, il a connu l’horreur, “Verdun sous les tropiques”. […] »
« De très longues phrases déroulent la pensée et les sensations qu’éprouve Viviane Craig au moment d’aller jouer une pièce de Brahms pour une cérémonie en mémoire de son amant secret. […] »
« Quand la violence physique mène droit à la pression psychologique exercée par une puissante morale conservatrice, il en résulte un ouvrage à la fois bouleversant et révoltant. […] »
« Ancien de Diên Biên Phù, Alexandre revient à Hanoï, pour retrouver son seul amour. Entre prose et poésie, un roman sur une étrange quête, au-delà de la guerre. “Il est dix-huit heures. […] »
« « Diên Biên Phù, joli nom pour un naufrage », ainsi débute le récit. Son narrateur se battait, là-bas, avec les soldats de la coloniale. Il a connu l’enfer des 57 jours et nuits dans le camp retranché, puis la défaite. Les collines à défendre avaient de jolis noms, […] »
« La grande dame des lettres irlandaises, lauréate du prix PEN/Nabokov 2018 pour la portée internationale de son œuvre, ne laissera personne indifférent avec ce livre, publié en 1998, et réédité par sa fidèle éditrice, Sabine Wespieser. […] »