LIRE, Christine Ferniot, mai 2018
« Quand la violence physique mène droit à la pression psychologique exercée par une puissante morale conservatrice, il en résulte un ouvrage à la fois bouleversant et révoltant. […] »
« Quand la violence physique mène droit à la pression psychologique exercée par une puissante morale conservatrice, il en résulte un ouvrage à la fois bouleversant et révoltant. […] »
« Ancien de Diên Biên Phù, Alexandre revient à Hanoï, pour retrouver son seul amour. Entre prose et poésie, un roman sur une étrange quête, au-delà de la guerre. “Il est dix-huit heures. […] »
« « Diên Biên Phù, joli nom pour un naufrage », ainsi débute le récit. Son narrateur se battait, là-bas, avec les soldats de la coloniale. Il a connu l’enfer des 57 jours et nuits dans le camp retranché, puis la défaite. Les collines à défendre avaient de jolis noms, […] »
« La grande dame des lettres irlandaises, lauréate du prix PEN/Nabokov 2018 pour la portée internationale de son œuvre, ne laissera personne indifférent avec ce livre, publié en 1998, et réédité par sa fidèle éditrice, Sabine Wespieser. […] »
« C’est un texte essentiel que nous donne à redécouvrir Sabine Wespieser éditeur avec ce roman d’Edna O’Brien publié une première fois en France en 1998. […] »
« Construit comme une longue poésie, ce premier roman de Marx Alexandre Oho Bambe, poète franco-camerounais, se lit comme une splendide ode à l’amour et à l’amitié. Alexandre est un Français survivant de Diên Biên Phù. […] »
« Edna O’Brien s’inscrit dans l’actualité avec la réédition d’un roman dénonçant la violence faite au corps et à l’âme des femmes. […] »
« Mangées, une histoire des mères lyonnaises : Catherine Simon s’est plongée dans les entrailles de la cuisine locale pour en tirer un fort bien documenté roman rendant hommage à celles qui ont façonné tout un pan de notre gastronomie et de notre histoire. […]»
« « Les mères lyonnaises… Une histoire ressassée, réglée comme du papier à musique, mais trouée de zones d’ombres, d’angles morts, de non-dits. » Ainsi s’exprime un des personnages principaux de Catherine Simon, dans Mangées, une histoire des mères lyonnaises, […]»
« Marié et père de famille, Alexandre abandonne les siens pour retourner au Vietnam avec un fol espoir : retrouver Maï Lan, celle qui fut et qui reste l’amour de sa vie. Ils se sont connus vingt ans plus tôt au temps de l’Indochine. […] »