LE TEMPS, André Clavel, samedi 24 septembre 2016
« Edna O’Brien se met à l’écoute des convulsions balkaniques et observe leurs conséquences jusque dans son Irlande natale. […] »
« Edna O’Brien se met à l’écoute des convulsions balkaniques et observe leurs conséquences jusque dans son Irlande natale. […] »
« Avec Fraternels, son 8e roman, Vincent Borel opère en démiurge littéraire. D’une puissance éblouissante, ce roman post-apocalyptique déjoue les pires scénari, et refonde dans une truculence libertine, l’horizon d’une utopie. » […]
« Après ses mémoires, Edna O’Brien revient à la fiction, en publiant un roman intimiste et engagé, que son ami Philip Roth a qualifié de chef-d’œuvre. Rencontre avec la star de la littérature irlandaise. […] »
« Un homme débarque à Cloonoila. Il est séduisant, charismatique, et travaille comme thérapeute pour redonner espoir et désir à ses patients. Il s’appelle Dragan. […] »
« L’Irlandaise Edna O’Brien signe une fresque sur le bien et le mal. Petites Chaises rouges, certes, mais grand livre. […] »
« Sans le savoir, une Irlandaise s’éprend d’un génocidaire de Bosnie. Un portrait de femme bouleversant qui vacille de la honte à l’expiation. […] »
« […] À partir d’un fait-divers réel mais en ayant travesti l’identité des protagonistes, Vincent Borel a construit un roman-monde où l’histoire qui débute sur le Mont-Valérien et le quartier de la Défense, nous projettera par effet papillon en Sibérie » […]
« […] Cette Irlande encore confite et traditionnelle, au point d’en être tendrement drôle, c’est bien celle d’Edna O’Brien, l’écrivain de bientôt 86 ans, exilée depuis longtemps à Londres. […] »
« C’est un roman crépusculaire, dès l’incipit. Cette nuit-là, la Lune grosse, blafarde, s’était encore éloignée de la Terre. C’est un monde déréglé de plus de quarante ans que le nôtre, dirigé par le Gouvernement mondial. […] »
« La romancière irlandaise dresse le portrait d’une femme hantée par la honte pour avoir aimé un criminel de guerre. […] »