PAGE DES LIBRAIRES, Marie Michaud, librairie Gibert Joseph (Poitiers), décembre 2015
« Vingt-six hivers à déneiger les routes de sa commune… mais, pour la première fois, ce 23 décembre 2004, David passe la main. […] »
« Vingt-six hivers à déneiger les routes de sa commune… mais, pour la première fois, ce 23 décembre 2004, David passe la main. […] »
« Année 1933. Andreas Egger, suite à une intuition, se rend chez Jean des Cornes et le trouve agonisant sur sa paillasse. Sur le chemin, en descendant le mourant au village, les deux hommes ont une discussion sur la mort, la disparition totale de toute vie, l’inexistence d’une autre vie au paradis. […] »
« Cet écrivain autrichien, découvert avec son très beau roman Le Tabac Tresniek, s’impose à nouveau avec son deuxième livre, traduit en France grâce à son éditrice à l’instinct infaillible. […] »
« Il n’a pas (encore) défrayé la chronique. Il n’a pas eu de prix. Pourtant Une vie entière, sorti en octobre, est un des plus jolis livres étrangers de cette rentrée littéraire. […] »
« C’est un conte de fées sur fond de mondialisation. Il était une fois un petit garçon nommé Eka Kurniawan. Eka avait grandi à Pangandaran, dans l’ouest de Java : une ville d’Indonésie qui, sur les cartes postales, a des allures de paradis pour touristes. […]»
« Le soir où Margio assassina Anwar Sadat, Kyai Jahro était captivé par ses poissons dans leur bassin. La première phrase du roman d’Eka Kurniawan contient en germe tout ce que l’on va trouver dans L’Homme-Tigre. Un meurtre sauvage, […]»
« Même prénom, presque frères, les destins de deux Géorgiens. Des Joseph, on en trouve deux dans le nouveau roman de Kéthévane Davrichewy. Le premier, personne ne l’a jamais oublié. Joseph Djougachvili, dit Staline, était appelé « Sosso » quand il était gamin. Le second, un certain Joseph Davrichachvili […]»
« Dans les années 1930, un orphelin est confié à une famille de paysans, dans une vallée autrichienne promise à se métamorphoser avec l’engouement pour les sports d’hiver. […] »
Citation : « C’était une étrange impression que cet homme aux allures de héron précédant treize génisses à la queue leu leu, avec un vieil ours blanc pour clore le cortège. »
« L’histoire du XXe siècle contée par un homme brisé mais sans haine. Un roman vif et piquant. […] »