Archives: Presse écrite

MONDES DES LIVRES, Macha Séry, vendredi 21 août 2015

MONDES DES LIVRES, Macha Séry, vendredi 21 août 2015

« À la fois Circé du fait du puissant attrait exercé par son récit vagabond entre découvertes historiques et déboires personnels, et Clio par la pédagogie qu’elle manifeste lorsqu’elle expose, par exemple, l’affaire Lavater (1769-1770) qui opposa Moses Mendelssohn au penseur luthérien […] »

SUD-OUEST DIMANCHE, Olivier Mony, dimanche 16 août 2015

SUD-OUEST DIMANCHE, Olivier Mony, dimanche 16 août 2015

« Autre famille, suivie par Diane Meur sur cinq siècles et autant de continents, les Mendelssohn. Dans La Carte des Mendelssohn, projet romanesque le plus rigoureusement fou de cette rentrée, la romancière dresse, à travers le destin de la famille du compositeur allemand, la cartographie de la chute d’un certain rêve européen. »

VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 26 juillet 2015

VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 26 juillet 2015

« Impossible de ne pas craquer devant cette nouvelle collection si élégante et sobrement signée SW Poche. Quatre grandes auteures inaugurent la série : Nuala O’Faolain (On s’est déjà vu quelque part ?), Yanick Lahens (Dans la maison du père), Kelly Dowland (Jackie) et Zahia Rahmani (« Musulman » roman). […] »

VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 26 juillet 2015

VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 26 juillet 2015

« Impossible de ne pas craquer devant cette nouvelle collection si élégante et sobrement signée SW Poche. Quatre grandes auteures inaugurent la série : Nuala O’Faolain (On s’est déjà vu quelque part ?), Yanick Lahens (Dans la maison du père), Kelly Dowland (Jackie) et Zahia Rahmani (« Musulman » roman). On connaît Sabine Wespieser pour ses choix de textes de qualité. […] »

ELLE, Pascale Frey, vendredi 3 juillet 2015

ELLE, Pascale Frey, vendredi 3 juillet 2015

« Il y a d’abord la surprise : un roman français qui ne ressemble à aucun autre. Puis la séduction. Comment ne pas tomber sous le charme de ce triangle amoureux digne d’un vaudeville qui échappe pourtant au ridicule et aux conventions ? […] »