LA CROIX, Emmanuelle Giuliani, jeudi 8 janvier 2015
« Le nouveau livre de Léonor de Récondo sème le trouble et récolte la tempête des corps et des sentiments, dans une honorable maisonnée bourgeoise. […] »
« Le nouveau livre de Léonor de Récondo sème le trouble et récolte la tempête des corps et des sentiments, dans une honorable maisonnée bourgeoise. […] »
« À première vue, Amours, le quatrième livre de Léonor de Récondo, ressemble à l’un de ces romans bourgeois d’une autre époque que l’on débusque parfois dans les greniers des maisons de campagne. […] »
« Roman de mœurs et triangle amoureux à la Belle Époque. Amours, petite musique tranquille, douceur surannée… […] »
« Violoniste baroque, Léonor de Récondo a raison de ne pas choisir entre les notes et les mots : Amours est une réussite. […] »
« En 1908, une femme de chambre victime du droit de cuissage devient la mère porteuse d’un couple, dans une maison bourgeoise. Le lecteur n’est pas au bout de ses surprises ! […] »
« Les romans de Léonor de Récondo sont à son image, fins, gracieux, poétiques. De ses grands yeux, elle observe le monde, les hommes, les femmes, s’interroge sur leurs mœurs, leurs corsets forgés par la société et ce qu’il y a derrière, la chair et les sentiments. […] »
« Deux ans après son superbe roman Pietra Viva, centré sur l’introspection de Michel-Ange, dans le ventre d’une carrière de marbre, à Carrare, Léonor de Récondo sculpte, dans Amours, une autre matière vivante et tumultueuse : la grossesse non désirée d’une femme de chambre […] »
« Dans l’étonnant Berlin-Moscou, le Britannique Tariq Ali offre un bilan du communisme.
Très jeune, Tariq Ali, né en 1943, a su qu’il viendrait à la fiction. Seulement, il y avait plus urgent.
« Robert Seethaler plonge un ado de dix-sept ans dans la marmite grouillante d’une Vienne en pleine conversion au national socialisme. Une initiation accélérée qui porte un regard décalé, drôle et tendre sur une page noire de l’Histoire autrichienne. […] »
« Quel lien peut-il unir Sigmund Freud et Franz Huchel, un jeune montagnard débarqué à Vienne pour faire son apprentissage dans un magasin de tabac ? La fascination pour l’inconscient ! […] »