LE FIGARO MAGAZINE, Olivier Mony, vendredi 5 décembre 2014
« Il y a des débuts dans la vie qui ne laissent pas vraiment le temps de débuter. Ainsi ceux de Franz, jeune montagnard venu chercher fortune dans la Vienne des années 30. […] »
« Il y a des débuts dans la vie qui ne laissent pas vraiment le temps de débuter. Ainsi ceux de Franz, jeune montagnard venu chercher fortune dans la Vienne des années 30. […] »
« Avez-vous déjà respiré le parfum d’une lettre ? D’une missive à l’ancienne – comme au XXe siècle – écrite sur du papier et reçue par la poste ? Nous ne parlons pas de sa tonalité affective ni des sentiments qu’elle exprime, mais bien des senteurs qui s’en dégagent – l’odeur des mots. […] »
« Ce roman nous emmène à Berlin, auprès de Vlady Meyer. Il vit dans une Allemagne tout juste réunifiée. Ancien dissident, il a été viré de son poste d’enseignant à l’université » […]
« À Vienne, en 1937, le buraliste Otto Tresniek peine à préserver l’harmonie dans son échoppe. Clientèle bourgeoise juive et classes populaires ne parviennent plus à cohabiter. […] »
« Paru en 1986, Le Livre des secrets est considéré comme un monument des lettres néo-zélandaises. Sous la plume vibrante de Fiona Kidman, on y découvre les vies entremêlées de Maria, la sorcière de Waipu, de sa mère Annie et de sa grand-mère Isabella […] »
« Au premier rang de ses souvenirs d’enfance, Erina chérit la mémoire d’une odyssée fantastique jusqu’à Key West, dans la Buick de son père, et de moments moins glorieux dans les casinos. […] »
« Vienne, 1938, c’est l’Anschluss, les événements se précipitent. Avant de quitter l’Autriche, Freud fréquente souvent Le Tabac Tresniek. Un captivant roman de Robert Seethaler. […] »
« Bon sang ne saurait mentir. Si son père n’avait pas décidé de mettre fin à sa brillante carrière d’architecte pour se consacrer à la sculpture et à la peinture […] »
« Dans toute cette histoire, il faudra tenir compte du vent, du sel, de l’eau, et pas seulement des hommes et des femmes, murmure la jeune naufragée du Bain de lune, de l’Haïtienne Yanick Lahens, qui vient de recevoir le prix Femina. […] »
« […] Il faut se laisser envoûter par sa prose brûlante, où rôdent l’amour et le vaudou, l’eau-de-vie de canne à sucre, l’honneur et la rage. Il faut se rendre à Anse Bleue, près des jardins d’ignames, où les morts parlent […] »