LIRE, Julien Bisson, novembre 2014
« Romancier et acteur, l’Autrichien signe avec Le Tabac Tresniek une plongée captivante dans la Vienne des années 1930, entre éducation sentimentale et politique. […] »
« Romancier et acteur, l’Autrichien signe avec Le Tabac Tresniek une plongée captivante dans la Vienne des années 1930, entre éducation sentimentale et politique. […] »
« Tariq Ali propose une grande fresque romanesque et poiltique. Il y a deux choses que les lecteurs français doivent absolument savoir à propos de Tariq Ali. […]
« L’éditrice a un flair incomparable pour découvrir de nouveaux auteurs talentueux comme cet écrivain viennois, également acteur, qui vit à Berlin, et dont le quatrième livre est traduit pour la première fois en France. […] »
« Depuis cinquante ans, Haïti a gagné en pragmatisme, explique Yanick Lahens. Mais la jeunesse, plus américanisée, a parfois perdu le contact avec ses racines. Or, pour la romancière, le changement passe par la compréhension […] »
« Dans une généreuse et poignante épopée, la romancière de Port-au-Prince raconte une île et son peuple. Comment faire résonner la voix de ceux qui n’ont jamais droit à la parole ? […] »
« Qu’on ne rate pas cette merveille ! Premier roman traduit d’un Autrichien promis au plus bel avenir. […] »
« Yanick Lahens offre une ample épopée familiale scandée par la voix haletante d’une jeune femme, rescapée d’un naufrage. Une histoire de larmes, de sang (mêlés), de haine et de désir entre les Lafleur, paysans observant le monde […] »
« Marion Richez affirme, dès son premier livre, son exigence littéraire et un style bien à elle. L’Odeur du Minotaure, roman de la métamorphose, constitue une quête de sens à donner à la vie. […] »
« C’est un roman puissant, incarné,porté par les divinités et par les voix amples des membres de la famille Lafleur qui s’expriment avec omniscience, comme s’ils savaient déjà la fin, comme si personne ne pouvait les tromper, pas même l’un des leurs. […] »
« Un conte cruel où la plume d’un ministre reprend tout à coup du poil de la bête. Elle est jolie, Marjorie, et tout lui réussit. Devenue la plume d’un ministre, elle avance sans états d’âme dans une carrière encombrée d’ambitieux, cyniques comme elle. […] »