LA VIE, Hélène Rochette, jeudi 4 septembre 2014
« C’est l’histoire d’un père fantasque : il s’appelait Vassili Papadopoulos et savait compenser sa chétivité par une étourdissante loquacité. […] »
« C’est l’histoire d’un père fantasque : il s’appelait Vassili Papadopoulos et savait compenser sa chétivité par une étourdissante loquacité. […] »
« L’écriture et le pittoresque de la langue font tout le charme de ce livre. Après Guillaume et Nathalie, Yanick Lahens, née à Port-au-Prince, revient aux coutumes et à la réalité de son île, égarée entre un catholicisme […] »
« Le roman de Yanick Lahens s’empare du lecteur dès les premières lignes, bouillonnantes de désir et de colère mêlés. On croit connaître Haïti – misère, violence et vaudou – mais que savons-nous vraiment, vu d’ici, avec notre regard d’Occidental ? […] »
« La Haïtienne revient avec un roman politique, mais aussi très poétique, sur l’histoire de l’île contée à travers trois générations, et donne la parole aux paysans dans ce livre magistral. […] »
« Marjorie est la plume d’un ministre. Marjorie a une puissante berline. Un jour, sa mère l’appelle : son père est mourant. Elle prend la route, heurte une masse noire, un animal. […] »
« Lire a sélectionné six découvertes parmi les jeunes talents. Après sa participation au documentaire consacré à Albert Camus, Quand Sisyphe se révolte, Marion Richez poursuit son travil sur les origines et la mémoire. […] »
« Voici un premier roman aussi troublant qu’envoûtant. La scène d’ouverture est magnifique, elle décrit une enfant qui court vers un pré où sont regroupées des vaches. […] »
« Le septième roman de l’écrivaine québécoise, née à Chicago en 1961 d’un père grec et d’une mère française, dresse le portrait d’un homme fantasque et imprévisible qui ne doit pas être sans ressemblances avec son propre père [… et où] les échos de l’enfance résonnent en un déballage coloré et sensuel. »
« Avec la maîtrise qu’on lui connaît, la romancière québécoise, par la voix d’Erina, bouscule la chronologie avec une très grande efficacité ; les époques mélangées éclairent les temps forts de la vie de Vassili et ses rapports explosifs avec son entourage. […] »
« Très bel hommage à la figure du père, La Ballade d’Ali Baba nous fait voyager entre l’Europe, l’Afrique du Nord et l’Amérique, en dressant le portrait d’un drôle de gaillard qui ne veut pas rester sagement dans l’au-delà. […] »