BLOG LILI AU FIL DES PAGES, Lili Fischer, lundi 10 octobre 2022
« Il n’est pas facile pour les petites gens de s’élever dans la société. Le monde rural colle aux semelles quand on se risque dans les rues cimentées de la ville. »
« Il n’est pas facile pour les petites gens de s’élever dans la société. Le monde rural colle aux semelles quand on se risque dans les rues cimentées de la ville. »
« Un roman d’une force rare »
« Entre le roman familial sur fond d’exil et de guerre aux résonances très actuelles et le récit d’enfance à la fois subtil et fort dont les personnages possèdent une incroyable présence, « Nous nous aimions » de Kéthévane Davrichewy est un pur bijou à découvrir absolument. »
« Un suspense se crée à travers des sentiments intérieurs finement rapportés dans leur complexité, de l’amour et de la difficulté d’aimer, de la confiance et de la trahison. »
« Ce livre est aussi un roman puissant sur l’appartenance à une terre natale, où Jeanne n’aura de cesse de revenir, aimantée par son amour pour sa mère et la culpabilité de n’avoir su la protéger de son destin. »
Entretien avec Sarah Jollien-Fardel
« Sa préférée » dans les dix meilleurs premiers romans de la rentrée des « Échos »
« « Nous nous aimions » nous délivre un beau message subtil et délicat : tirer parti du trésor que constituent les souvenirs, ceux-ci ayant peut-être des chances de nous conduire vers des instants d’éternité… »
« Dans un premier roman percutant qui s’attaque au sujet sensible des violences familiales, sans aucun sentimentalisme mais également sans espoir, Sarah Jollien-Fardel expose l’enfance de sa narratrice dans une famille où tout tourne autour de la violence du père. »
« Avec un talent remarquable, la romancière embarque son lecteur dans ses Enfers, le fait seul témoin de ses démons. »