L’ILLUSTRÉ, « 10 romans romands à découvrir cet été », mardi 28 juin 2022
« Ce récit poignant d’une enfance valaisanne pourrait bien être une des sensations de la rentrée littéraire. »
« Ce récit poignant d’une enfance valaisanne pourrait bien être une des sensations de la rentrée littéraire. »
« Portrait en lettres capitales de Dima Abdallah »
« Le Dernier mouvement » est une réflexion sur l’humilité de l’homme devant le temps qui passe, une mélodie sur le temps fini pour un des plus grands artistes de son époque, confronté à la plus banale des épreuves humaines : la mort qui vient.
« En lectrice qui n’aime pas que l’auteur donne son avis, Claire Keegan nous offre des histoires limpides, agencées comme de petites scènes, jetées sur les pages comme autant de pièces d’un puzzle qui ne révélera son image finale qu’à la dernière ligne. »
« Un comportement de misogyne, passé au scalpel avec un réel talent, par petites touches puisées dans les gestes du quotidien et qui ont leur importance, car ils révèlent les êtres. »
« Le mystère plane sur ce récit et l’émotion est au rendez-vous car Dima Abdallah construit son roman de façon formidablement subtile »
« Dima Abdallah, de son écriture profonde aux pourtours envoûtants, construit ce roman singulier, poétique et fort. Elle rappelle que traverser une mer ou jeter ses clés ne suffit pas à effacer le passé. Elle distille patiemment les informations, reconstituant lentement le puzzle d’une vie. »
« « Entre toutes les femmes » est un roman qui fut publié en 1990 et qu’on ne trouvait pratiquement plus. Les éditions Sabine Wespieser ont eu la bonne idée de rééditer ce roman inoubliable. L’auteur, aujourd’hui décédé, fut très lu en France. »
« Ce livre porte bien son nom car malgré la pandémie et grâce aux libraires qui l’ont soutenu, sa durée de vie est incroyablement longue. »
« Une histoire insoupçonnée, à la fois cruelle et déchirante, se dévoile de manière singulière, d’une métaphore à l’autre, et révèle une écriture d’une grande beauté qui redonne vie à tous ces oubliés traînant leurs blessures dans l’anonymat des grandes villes. »