L’OBS, 22 février 2022
Tribune de Beyouk : « Il faut rendre aux populations du Sahara le respect qui leur est dû »
Tribune de Beyouk : « Il faut rendre aux populations du Sahara le respect qui leur est dû »
« Une des complexités de mon pays c’est qu’il n’y a pas une seule culture, un seul peuple indonésien. Il en existe une multitude. »
« Malvoyant, l’autrichien ne s’imaginait pas devenir romancier. Pourtant, après avoir été comédien, il se consacre pleinement à l’écriture. Son dernier livre, consacré à l’artiste Gustav Mahler, est une œuvre forte, vivante et épurée. Rencontre. »
« D’où vient le charme fou de ce Dernier mouvement ? De l’écriture musicale de Robert Seethaler bien sûr, de sa capacité à mêler la grande histoire culturelle à l’intime dévoilé. »
« Durant tout le livre, le lecteur s’attend à la mort du héros, que le romancier a l’habileté de ne pas raconter. »
« Un récit intime qui dit tant de la fragilité et de la passion d’un homme. Une lecture somme toute étincelante ! »
« Robert Seethaler est considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue allemande. À la lecture du “Dernier mouvement”, on se dit que cela n’a rien de fallacieux. »
« Mahler est sur le pont du bateau, emmitouflé de couvertures, saisi par la fièvre. Il pressent sa fin. »
« Dans son nouveau livre, l’écrivain autrichien Robert Seethaler évoque le dernier voyage en paquebot de Gustav Mahler. »
Entretien avec Dima Abdallah