BLOG CULTURE – UNIVERSITÉ DE LIÈGE
« C’est par ce texte autobiographique que Sabine Wespieser a entamé en 2002 la traduction de l’œuvre de l’Irlandaise Nuala O’Faolain (1940-2009). […] »
« C’est par ce texte autobiographique que Sabine Wespieser a entamé en 2002 la traduction de l’œuvre de l’Irlandaise Nuala O’Faolain (1940-2009). […] »
«Voilà un drôle de récit. […] C’est le récit extravagant qu’un gendre fait à sa belle-mère dans une lettre d’une soixantaine de pages, en forme de longue confidence, presque une confession. Une confession, ce pourrait presque être ça, pour cette femme âgée et sa copine Vanguelia, […]»
« Une tempête de sable défait sans douceur ce que la lune avait calmement mis en place et rendu observable. Ainsi commence presque le récit. »
«Altermondialiste engagé, Yannis Makridakis a déjà publié en Grèce, où il connaît un succès croissant du public et de la critique, plusieurs romans, nouvelles et ouvrages historiques.
La Chute de Constantia est son premier titre traduit en français. Un auteur à découvrir et un roman qui se dévore. […]»
« Une histoire qui commence dans un contexte familial et historique banal, souvent dépeint dans la littérature. Ne vous y fiez pas, ce roman est résolument moderne. […] »
« Sous la lumière d’un réverbère, assis sur le trottoir, un homme lit Scènes de la vie de bohème d’Henry Murger. Non loin de là, depuis la terrasse d’un café, une femme observe cette image de solitude et de bonheur évident. […] »
« […] Quel roman ! Une histoire d’amour d’une sensualité rare. Les codes et la principes bourgeois cèdent sous la déferlante amoureuse de deux femmes de conditions différentes. […] »
« Un voyage dans le temps, un retour vers le passé, non pas un aller simple, tournant le dos à l’avenir, mais un aller-retour, une plongée au sens propre dans un passé lointain puisque ce billet de voyage s’écrit au fil de l’eau pour la narratrice – au fil d’un canal pour sa plus grande part –, sur une péniche. […] »
« Michèle Lesbre a cette particularité de savoir souvent me mener sur la beauté des mots simples et silencieux, la grâce et la douceur de la pluie, un lac immense ou un voyage en Sibérie. […] »
« Dès les premières pages, l’écriture de Léonor de Recondo est saisissante, pénètre d’emblée le lecteur, séduit par l’élégance et la délicatesse du style. […] »