ROADS CULTURE, Raffael Enault, mardi 11 mars 2014
« François Jonquet possède le pouvoir de vous téléporter au Palace. C’est avéré. D’y aller, de franchir cette fameuse porte rouge, j’en ai toujours rêvé. […] »
« François Jonquet possède le pouvoir de vous téléporter au Palace. C’est avéré. D’y aller, de franchir cette fameuse porte rouge, j’en ai toujours rêvé. […] »
« Quel beau texte, qui se déguste, se savoure et fait écho en chacun de nous. Mélancolique et sensible, une belle histoire à découvrir. Je vous le recommande chaleureusement. »
« Dans ce roman sur la famille, Kéthévane Davrichewy ausculte les non-dits, les regards, les attitudes. Entre les confidences et les pensées de chacun, elle nous interroge sur comment chacun se construit, trouve ou non sa place enfant puis adulte. […] »
« Jean-Claude Ellena, le nez de la maison Hermès n’est pas seulement un très grand compositeur de parfums, c’est aussi un romancier. Il est le nez exclusif d’Hermès depuis 2004, où il a signé entre autre un Jardin en Méditerranée ou encore récemment Épice marine. […]»
« Quatre murs. Quatre frères et sœurs. Des secrets, des rancœurs, des silences, des regrets. Une maison. Une mère. Trois récits. Un beau roman. Et un constat : aucune famille n’est immortelle. […] »
« Pourtant pas friand d’histoires de famille, de secrets, de non-dits, de tensions sous-entendues, de scènes sans mouvement, j’ai été touché par le roman de Kéthévane Davrichewy. […] »
« Quatre murs, quatre enfants, quatre piliers d’une maison d’enfance, Somanges. Ces murs nous ont façonnés, nourris, portés. Tu imagines parfois notre vie, sans Somanges ? […] »
« Roman d’un été, roman méditerranéen d’une grande beauté, Michal Govrin m’a ébloui le temps de 400 pages bien serrées. […] »
« Avec Les Collines d’eucalyptus, la grande romancière vietnamienne clôt un diptyque sensuel, frontal, cru. C’est un regard aussi acéré qu’amoureux sur le Viêtnam, retraçant le destin d’un adolescent fugueur. Et quand elle parle, la combattante surgit aussitôt. […]
« Tout au long de ces presque 800 pages, Duong Thu Huong, nous parle de son Vietnam dont elle n’est plus citoyenne parce qu’opposante, d’un pays où ses livres sont interdits. […] »