BLOG SUR LA ROUTE DE JOSTEIN, mardi 16 octobre 2012
« D’une plume fine, simple mais détaillée, Claire Keegan nous emmène une nouvelle fois dans l’Irlande rurale grâce à ces huit nouvelles. Là où les hommes sont un peu bourrus, accrochés […] »
« D’une plume fine, simple mais détaillée, Claire Keegan nous emmène une nouvelle fois dans l’Irlande rurale grâce à ces huit nouvelles. Là où les hommes sont un peu bourrus, accrochés […] »
«Entrer dans l’univers de Claire Keegan, c’est pénétrer dans un monde où les failles, les blessures se devinent à demi-mots, où les ellipses surprennent le lecteur, où la tendresse est souvent absente, voire dévoyée, où l’amour se fraye difficilement un chemin. […] »
« L’auteur irlandaise continue de nous charmer avec son art de figer dans toute leur acuité et leur sensibilité des instants de vie qui révèlent ainsi le sel de l’existence mais aussi ses failles et ses douleurs, ses doutes et ses malheurs. […] »
« Au milieu des pavés souvent indigestes de la rentrée littéraire, un recueil de nouvelles précieuses et délicates. L’art de la brièveté, maîtrisé à la perfection par l’Irlandaise Claire Keegan, qui nous touche directement au cœur. […] À lire absolument ! »
« Claire Keegan n’a pas besoin de 300 pages pour nous embarquer dans son univers et transmettre des messages forts, toujours d’une écriture sobre et tranquille. Car il faut se méfier de cet auteur : elle ne gesticule pas de la plume (ni du clavier) ; […]»
« Un recueil de huit nouvelles comme des diamants bruts, certainement l’excellence d’une écriture qui se prête si parfaitement au genre, au-delà du romanesque. Chacune de ces nouvelles, c’est le talent de Claire Keegan, […] »
« Claire Keegan possède un don. Celui merveilleux de décrire l’indicible, de suggérer des troubles, les sentiments terrés, l’ambiguïté d’une situation ou le drame qui y couve. Ces huit nouvelles sont des pépites ! »
« Un très bon livre qui met Claire Keegan dans la liste des grands nouvellistes d’Irlande. »
« On refermera le livre avec une touche de nostalgie et de douceur devant la finesse de l’écriture et la description des sentiments, ambivalents et ambigus, mais toujours très justement décrits. »