LE BLOG DES LIVRES QUI RÊVENT, jeudi 30 janvier 2014


« Roman d’un été, roman méditerranéen d’une grande beauté, Michal Govrin m’a ébloui le temps de 400 pages bien serrées. […]
Texte poétique, travail de mémoire, analyse politique, fiction, l’œuvre de Govrin est tout cela à la fois, nous apportant un roman choral intéressant et d’une grande beauté. »